Un conseil d’administration renouvelé pour la FQCF

Québec, le 11 avril 2025 – Acteur incontournable du secteur forestier québécois, la Fédération québécoise des coopératives forestières (FQCF) peut maintenant compter sur un conseil d’administration renouvelé à la suite de l’arrivée de deux nouveaux administrateurs et de la réélection de trois autres administrateurs.

Dans un premier temps, la FQCF accueille dans ses rangs à titre de nouveaux administrateurs MM. Antoine Breton et Kevin Gendron. M. Breton est ingénieur forestier et directeur de l’aménagement à la Coopérative de gestion forestière des Appalaches (CGFA). Très impliqué, il s’est d’ailleurs vu remettre, hier soir, le Mérite de la relève 2025 de la FQCF. Directeur général de la Coopérative forestière de la Gaspésie, M. Gendron s’est pour sa part joint à cette dernière organisation en avril 2024 après une carrière de gestionnaire dans le secteur agroalimentaire. Les deux nouveaux administrateurs ont été désignés par le conseil d’administration afin de combler deux sièges vacants.
Par ailleurs, à la suite de l’assemblée générale annuelle tenue en clôture du congrès de la FQCF qui a eu lieu, au Centre des congrès Mont-Ste-Anne, les 10 et 11 avril, Benoit Houle-Bellerive (Coopérative forestière du Bas St-Maurice), William Lebel (Coopérative forestière La Nord-Côtière) et Vicky Savard (Coopérative de travailleurs forestiers de Ste-Marguerite) ont tous trois été réélus pour des mandats de 3 ans.
Ainsi, le conseil d’administration est maintenant complet et compte neuf membres représentatifs de l’ensemble des régions du Québec. Le président de la FQCF, Stéphane Gagnon, s’est dit très heureux de pouvoir compter sur ce conseil d’administration renouvelé pour l’assister dans ses travaux et représentations. Comme il l’a souligné, hier, à la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Mme Maïté Blanchette Vézina, venue prononcer un discours lors du congrès, l’un des défis majeurs auxquels le secteur est confronté est celui de la très attendue « refonte du régime forestier qui devra faire une importante place à la sylviculture afin d’assurer la vitalité économique des régions du Québec et de lutter efficacement contre les changements climatiques. »
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Source : Dany Rousseau, directeur des communications
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